L'homme et ses barrières...
Aujourd'hui, je tiens à vous montrer à quoi ressemble une des portions du chemin dans les collines que j'ai retrouvé après l'hiver. Le propriétaire est certainement dans son droit, je n'en doute pas, mais quel saccage ! J'en ai eu le coeur et l'âme retournés. Depuis, je ne passe plus par là, j'y suis juste retournée pour témoigner de ce que l'instinct de propriété peut générer de folie et de laideur...
Je précise que auparavant il n'y avait rien, on passait sur le chemin bien sagement sans déranger personne, profitant avec bonheur du petit chemin tranquille serpentant dans les bois...
Les instruments de la fermeture, si laids :
Maintenant, il faut longer la barrière,
Et on arrive là, où la barrière passe sur le chemin et nous oblige à emprunter l'ancien chemin envahi de broussailles. Un peu absurde, mais sans doute que le nouveau empiétait sur la propriété privée...
Quand on a finit de longer les broussailles, on retrouve le chemin qui ressort de la propriété privée, avec des arbustes coupés en travers (et eux, quels sont leur tort, on se le demande ?), et toujours le panneau :
Et au-delà, encore des panneaux, sur les arbres, pour bien prévenir :
Et sur le terrain, le carnage, tous les bords sont défigurés, les broussailles et petits arbustes arrachés et coupés, puis rabattus sommairement, peut-être au-delà des "frontières" arbitraires du cadastre ?
Coupés, pourquoi ? Je ne sais, mais la raison qui m'échappe ne peut être que d'une humaine barbarie...
Voilà, mon témoignage. Je n'en dirais pas plus, l'indignation m'étouffe. Et les photos parlent d'elle-même...
Je précise que auparavant il n'y avait rien, on passait sur le chemin bien sagement sans déranger personne, profitant avec bonheur du petit chemin tranquille serpentant dans les bois...
Les instruments de la fermeture, si laids :
Maintenant, il faut longer la barrière,
Et on arrive là, où la barrière passe sur le chemin et nous oblige à emprunter l'ancien chemin envahi de broussailles. Un peu absurde, mais sans doute que le nouveau empiétait sur la propriété privée...
Quand on a finit de longer les broussailles, on retrouve le chemin qui ressort de la propriété privée, avec des arbustes coupés en travers (et eux, quels sont leur tort, on se le demande ?), et toujours le panneau :
Et au-delà, encore des panneaux, sur les arbres, pour bien prévenir :
Et sur le terrain, le carnage, tous les bords sont défigurés, les broussailles et petits arbustes arrachés et coupés, puis rabattus sommairement, peut-être au-delà des "frontières" arbitraires du cadastre ?
Coupés, pourquoi ? Je ne sais, mais la raison qui m'échappe ne peut être que d'une humaine barbarie...
Voilà, mon témoignage. Je n'en dirais pas plus, l'indignation m'étouffe. Et les photos parlent d'elle-même...